Avec les dernières nouvelles cette semaine qui sont tombées à propos de logiciels malveillants infestant des applications mobiles d’Apple et un nouveau virus mobile qui infecte les smartphones des utilisateurs chinois, un examen plus approfondi est mis en place pour les entreprises technologiques chinoises afin de protéger in fine les internautes.
Tencent a pris les devants avec l’annonce de son action de Thunder. Cette initiative spéciale vient de la société établie contre le phishing Internet, la pornographie, et les informations malveillantes.
Tencent a officiellement lancé sa nouvelle campagne avec des partenaires comme Didi, JD.com, 58.com et Dianping.com.
Zhu Jinsong, chef de Tencent, a déclaré que cette nouvelle campagne utilisera les ressources et les avantages des diverses sociétés de technologie pour bloquer les virus Trojan sur les téléphones mobiles et permettra de préserver la sécurité de paiement des utilisateurs.
Zhu a dit que les virus de Troie envoyés sur les portables via les messages (textos) sont devenu la dernière méthode utilisée par les phishers.
Les criminels prétendent dans les messages être les représentants des banques de service à la clientèle, des employés de service de messagerie du client, des amis ou des familles d’utilisateurs pour pousser à cliquer les internautes sur des liens malveillants.
Les statistiques du laboratoire de sécurité mobile Tencent ont montré que durant la première moitié de l’année 2015, il y avait 29,762 nouveaux virus Trojan sur les paiements mobiles, ce qui qui aurait touché 11,5 millions d’utilisateurs.
En Juin 2015, ce qui était le mois le plus accablant, une moyenne de 68.000 utilisateurs ont été attaqués sur une base quotidienne.
Zhu a rappelé que les internautes peuvent se protéger des attaques de virus Trojan en installant un logiciel de sécurité sur téléphone mobile. Ils devraient également éviter de cliquer sur des urls provenant de sources inconnues, éviter de divulguer les codes de vérification via SMS et confirmer avec des appels téléphoniques avant d’exécuter des transactions financières via leurs téléphones ou leur ordinateurs.
