Tout d’abord, il faut avoir une connaissance très particulière des us et coutumes locales (c’est à dire les règles de tenue et de savoir-vivre, mais aussi les spécificités culturelles, sociales et économiques).

Faire du consulting asie signifie pour le consultant de connaitre parfaitement le pays dans lequel il travaille (un certain nombre d’années de résidence et de travail sur place est souvent la condition requise), d’être autonome, d’être spécialiste dans le domaine d’activités ciblé serait un plus, car cela permet de répondre à des besoins très pointus.

En effet, dans l’établissement de partenariat d’affaires, les professionnels s’accordent à dire qu’il faut une approche très spécifique dans la plupart des pays asiatiques.

Qu’il s’agisse d’étude de marché, de recherche de partenariat commercial, voire d’implantation, il est vivement recommandé de s’attacher les services d’un expert ou d’un cabinet conseil implanté localement.

De par sa connaissance du pays et du marché cible, cet intermédiaire pourra donner les meilleures orientations et l’accompagnement adéquat afin de réussir un projet d’affaires en asie.

Dans l’accompagnement de mission, il pourra aider surtout dans la phase de préparation. Les expériences sur le terrain le démontrent : il n’y a rien de plus contreproductif que de débarquer à l’improviste et se lancer sans préparation dans cet environnement très particulier. Ceux qui s’y sont hasardés l’ont amèrement regretté.

L’aide de cet intermédiaire sert aussi pour les contacts durant le séjour, les négociations, les conseils, l’assistance, la traduction, la prise de rendez vous et toutes les activités majeures qui feront de la mission une belle réussite.

De nombreux professionnels compétents œuvrent à fournir des prestations de qualité dans la région asiatique et les investisseurs sérieux et désireux de réussir durablement font régulièrement appel à leurs services.