En outre, les sites opéraient sans permis de diffuser délivré par l’Administration d’Etat de la Radio, du Cinéma et de la Télévision (AERCT).

Les autorités chinoises avaient fermé 162 sites web dont le contenu audio ou vidéo a été jugé pornographique ou “obscène”, selon un communiqué publié par l’autorité de contrôle en ligne, le Bureau Spécial d’Opération pour la Suppression des Contenus Pornographiques et Obscènes en Ligne.

La Chine a fermé plus de 2.000 sites web et a arrêté au moins 45 personnes dans sa campagne contre la pornographie en ligne, lancée en janvier. Les messages textuels érotiques envoyés par téléphone portable sont aussi illégaux. Différents hébergeurs de blogs ont été également fermés, dont certains étaient connus pour leur contenu politique critique vis-à-vis de la ligne du gouvernement central.

Les détenteurs des noms de domaine ont également reçu l’ordre lundi (30 mars) de ne pas diffuser des films ou des divertissements télévisés qui n’ont pas été soumis à la censure et à l’approbation du gouvernement, selon un communiqué en ligne de l AERCT.

Source : Konaxis